Personnes à risque d’hypocondrie : existe-t-il un profil type ?
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L’hypocondrie est un terme qui est devenu quelque peu galvaudé. Qui n’a jamais qualifié d’hypocondriaque un membre de son entourage quelque peu anxieux au sujet de son état de santé ? Même si elle peut parfois prêter à rire, l’hypocondrie est une véritable maladie qu’il convient de prendre au sérieux et de faire soigner par un professionnel de ce trouble anxieux qui touche pas moins de 8.5 millions de français. On peut néanmoins se poser une question : existe-t-il des personnes à risque d’hypocondrie ? Certains profils sont-ils plus susceptibles que d’autres de développer en eux ce syndrome qui peut faire vivre un véritable enfer à celui qui en est atteint ? Notre article vous dresse le portrait des personnes à risque d’hypocondrie. Bonne lecture !
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Personnes à risque d’hypocondrie : existe-t-il un profil type ?
Peut-on réellement dire qu’il existe un profil type de personnes susceptibles de développer ce syndrome si particulier qu’est l’hypocondrie ? Existe-t-il des personnes plus à risque que d’autres ? Les études tendent à prouver que l’hypocondrie touche plus favorablement les personnes à la nature anxieuse, voire dépressive. Si vous avez naturellement tendance à vous faire du souci, à penser que le pire est à venir, et à dramatiser le moindre problème qui survient dans votre vie, alors vous faites partie des personnes les plus à risque de développer une hypocondrie. Bien entendu, ces grandes tendances sont à considérer avec des pincettes ! Toutes les personnes anxieuses ne vont pas forcément souffrir d’hypocondrie au cours de leur vie ! Néanmoins les statistiques montrent que ce syndrome touche plus facilement des personnes de nature anxieuse.
Découvrez ici : Dépression et hypocondrie : nos conseils pour sortir de ce cercle vicieux.
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Une maladie qui touche davantage les hommes citadins
Vous êtes un homme, résidant dans une grande ville française comme Paris, Lyon ou Marseille et vous pensez souffrir d’hypocondrie ? Sachez que cette maladie mentale touche en effet en grande majorité des hommes âgés de 30 à 40 ans, au profil résolument urbain.
Généralement, ces hommes occupent des postes à responsabilités, et sont de fait soumis à des pressions de la part de leur supérieur hiérarchique. Pression des résultats, conditions de vie éreintantes, vie de famille à assumer sont autant de conditions qui peuvent pousser le sujet sous pression à dériver vers l’anxiété, la dépression, et pourquoi pas l’hypocondrie.
Si vous pensez souffrir d’hypocondrie, sachez qu’il existe des remèdes efficaces pour lutter contre l’origine et les symptômes de la maladie. Mal du siècle, l’hypocondrie n’est évidemment pas une fatalité. Des spécialistes du genre pourront vous venir en aide pour vous aider à vous extraire de vos pensées obsessionnelles et destructrices.
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